ventres

Photographier le ventre, c’est le considérer pour ce qu’il est, ce qu’il est devenu avec le temps, ce qu’il raconte de nous ou cache, c’est mettre en jeu l’intime de chacun, hors de toute considération esthétique. Les modèles qui ont bien voulu se prêter au jeu ont eu ce courage de se montrer là où le photographe s’arrête peu. Et de confier quelques mots à la question rituelle posée à chacun : « que représente votre ventre pour vous ? »
Ces ventres ont été exposés au Centre Culturel Tjibaou, de novembre 2013 à mars 2014, puis au Festival de Arles en 2015.
Lydie Gardet signe les textes qui accompagnent l’exposition.