L’idée est venue à la suite d’une expo au Petit Palais à Paris « Dans l’atelier, l’artiste photographié » en 2016.
Ca a tout de suite résonné sur une échelle plus petite que nous connaissons bien : la Nouvelle Calédonie, et dans un laps de temps nécessairement plus court.
En regardant les ateliers de Picasso, Bourdelle, Brancusi, Toulouse-Lautrec, Miquel Barceló, nous pouvons imaginer sans complexe ceux de Nouméa, de la Grande Terre ou des Iles, dans leur environnement avec leurs techniques, leurs matières, leurs gestes.
Nous pensons que le défi peut être porteur de sens, pour la communauté artistique bien sûr, mais aussi pour l’ensemble du pays : de mieux connaître et faire connaître cette population qui œuvre pour nous interroger sur notre compréhension de la réalité et notre conscience de notre propre condition.
Ca a tout de suite résonné sur une échelle plus petite que nous connaissons bien : la Nouvelle Calédonie, et dans un laps de temps nécessairement plus court.
En regardant les ateliers de Picasso, Bourdelle, Brancusi, Toulouse-Lautrec, Miquel Barceló, nous pouvons imaginer sans complexe ceux de Nouméa, de la Grande Terre ou des Iles, dans leur environnement avec leurs techniques, leurs matières, leurs gestes.
Nous pensons que le défi peut être porteur de sens, pour la communauté artistique bien sûr, mais aussi pour l’ensemble du pays : de mieux connaître et faire connaître cette population qui œuvre pour nous interroger sur notre compréhension de la réalité et notre conscience de notre propre condition.
