métissages

Comment une personne en Nouvelle Calédonie dont un parent est kanak, tahitien, japonais, indien ou néo-zélandais, l’autre européen, chinois, wallisien, ou vanuatais va construire son identité, son rapport aux autres et à lui-même à partir de ses éléments parentaux divergents ?
L’intention de ces portraits photographiques est de parler de cet entre-deux, de ceux-là qui composent une immense partie de la société calédonienne et qui témoignent que cette société n’est pas binaire. Et à quel point il peut être embarrassant de systématiquement « choisir son camp » pour affirmer son identité.